Par exemple, supposons que l’utilisateur soit un gestionnaire de parking.
Tout d’abord, il doit diviser le stationnement par secteurs qui constituent l’ensemble du parc.
Cela se fait en créant des sous-répertoires, un pour chaque secteur, avec le nom choisi pour le secteur (ceci est important car ce nom apparaîtra lorsque l’utilisateur interrogera la base de données lors de la recherche de véhicules).
Supposons que le nom du parking soit « Paris, champs-elysées ». Le gestionnaire créerait alors des sous-répertoires du répertoire VIDEOS, nommés ainsi :
champs_elysees_driveway_1
champs_elysees_driveway_2
champs_elysees_driveway_3
…
Plus le nombre de secteurs est grand, plus les requêtes seront précises. Mais cela entraînera un travail plus important pour l’opérateur, qui devra filmer régulièrement des vidéos de chaque secteur.
Il est conseillé de filmer régulièrement chaque partie du parking (une ou deux fois par jour, plus de détails ici).
Ceci fait, l’utilisateur doit s’assurer d’insérer les nouveaux fichiers vidéos entrants, dans le bon répertoire.
Puis il procède à la reconnaissance en cliquant sur le bouton “importer des fichiers vidéo”
Le temps de traitement est proportionnel à la longueur des fichiers vidéo.
Ceci fait, le gestionnaire peut interroger la base de données pour récupérer différents types de résultats :
- recherche de véhicule(s) (voir Comment rechercher des véhicules)
- recherche de séjours de véhicules (voir Comment rechercher des séjours de véhicules)
- modifier les statistiques de fréquentation de la flotte (voir Comment rechercher des véhicules)
- modifier les statistiques sur l’activité des utilisateurs (voir Comment rechercher des véhicules)